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Voilà un an que je vis à Strasbourg. Maintenant, c’est l’heure du bilan…

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Tu débarques à Strasbourg tout-e perdu-e, tout-e seul-e et tout-e flippé-e ?

L’année dernière, comme toi, je visitais Strasbourg en même temps que je m’y installais pour une nouvelle année universitaire. Pour poursuivre ma formation, je laissais mes proches chéris, mon appartement adoré et mes habitudes pointues dans le Bordelais pour recommencer à zéro dans le Grand Est. Toute perdue, toute seule et toute flippée…

Un an après, je fais mon bilan avec toi. Et si tout ne s’est pas toujours passé comme prévu, j’ai survécu à mon exil alsacien comme toi aussi tu vas le faire !

  • Contexte

En août dernier, après 5 belles années bordelaises, j’emménageais à Strasbourg pour poursuivre mes études. Ce n’était pas vraiment un choix (navrée de te décevoir, ami-e strasbourgeois-e) : l’un des rares masters français spécialisés dans la branche qui m’intéressait se trouvait là, et ma candidature y a été acceptée.

J’ai été informée de cette décision le 30 juin, pour une pré-rentrée obligatoire le 1er septembre. Je disposais donc d’un délai de très exactement 2 mois pour : trouver un logement strasbourgeois, céder mon appartement bordelais et transférer l’intégralité de mon mobilier de ce dernier au premier avec l’aide de ma petite maman, qui devait être prévenue en avance pour demander congé (parce qu’avoir le permis, c’est sooo 2010). Tu l’auras compris : on partait sur un flux plutôt tendu du CUL.

Si céder mon appartement bordelais n’a pas été compliqué, rapport à une demande forte pour une offre désastreuse (comprendre « Charmant T2 si intégralement refait à vos frais pour loyer exorbitant seulement »), trouver un logement strasbourgeois n’a pas été une mince affaire, pour une raison simple : je ne connaissais absolument pas la ville.

Or, après t’être confronté-e aux joies de la recherche d’appartement, toi-même tu sais que son succès est conditionné par ce facteur déterminant : la maîtrise du territoire. Géographie de la ville, caractéristiques des quartiers, logique des transports, loyer mensuel moyen pour le type de logement visé… Autant de questions auxquelles j’étais bien incapable de répondre.

Pendant une semaine, j’ai donc mené l’enquête : j’ai dépouillé seloger.com, j’ai saigné Google Maps, et j’ai examiné les avis mesurés postés sur ville-ideale.com :

Capture d’écran 2016-09-05 à 13.50.17 copieAMBIANCE
(heureusement, il y a Pokaa.fr — tu le sens mon gros corporatisme, TU LE SENS ?!)


  • Premier bain alsacien : Impressions

C’est ainsi mise en confiance (= très peu) que j’ai débarqué le 24 juillet 2015 en gare de Strasbourg pour mon tout premier bain alsacien avec pas moins de 6 visites d’appartements programmées (le prix du TGV donnant très envie de rentabiliser). Morceaux choisis parmi mes SMS :

9h : « La gare est sous un dôme de verre. DINGUE. »

10h : « Ni caca au pied ni main au cul. Bon quartier gare. »

11h : « C’est tout petit tout mignon et les gens sont tout gentils tout polis et— Je retire j’ai failli passer sous dix vélos de FILS DE— »

12h : « Donc là je marche ET BIM, CATHEDRALE. »

13h : « MEILLEUR RESTO VEGAN DU MONDE. PREMIERE MOUSSE AU CHOCOLAT DE MA VIE. JE CHIALE. »

15h : « 4ème appart visité, 4ème ruine non équipée… Ils cuisinent au silex en Alsace ? »

16h : « Il fait chaud dans le Nord… On m’aurait menti ? »

17h : « Bière sur péniche. Je ne rentre pas. JAMAIS. »

Pour résumer, j’ai bien aimé Strasbourg : le centre-ville est à taille humaine, ce qui rend les déplacements appréciables, les gens sont aidants, ce qui rend la vie agréable, et les grandes enseignes commerciales y sont assez bien représentées pour faire flamber son chéquier (je suis faible). Passionnée de bière d’architecture, j’y ai trouvé mon compte.

  • strasbourgquais

    Installation : Manque de repères et phase d’intégration

Dans la nuit du 23 au 24 août, je parcourais les 1000km qui séparent Bordeaux de Strasbourg le ventre serré et la gorge nouée. Il n’y avait plus de retour en arrière possible : j’allais bel et bien vivre à Strasbourg, ville alors inconnue où je ne connaissais personne. Si j’anticipais vaguement le manque de repères, je redoutais énormément la phase d’intégration…

Parce qu’en fait, ça a l’air tout bête, posé comme ça, mais comment on se fait des copains, à 23 ans ?

Je ne vais pas te mentir, ça n’a pas été facile. En débarquant en master, j’accédais à une promotion suffisamment petite pour pouvoir m’intégrer, mais déjà scindée en groupes de strasbourgeois ensemble depuis la licence. De plus, contrairement à Bordeaux, Strasbourg n’a pas vraiment de quartier nocturne strictement étudiant…

Pour contourner cette réalité cependant, rien de plus simple : il m’a suffi de m’investir dans l’associatif (à l’université comme en dehors), de participer à des événements organisés par divers collectifs à l’intention des jeunes strasbourgeois, et de prendre mes quartiers dans des lieux fédérateurs (par exemple la Popartiserie).

Aujourd’hui, j’ai désormais un petit groupe strasbourgeois autour de moi, composé d’étudiants comme de jeunes actifs, qui ne cesse de s’étendre au fil des soirées et grâce à mon travail d’apprentie rédactrice sur Pokaa. Auparavant, en tant que lectrice, le site m’avait aussi permis de découvrir des lieux adaptés à mon mode de vie.

  • L'Académie de la Bière, une bonne leçon de houblon - PokaaStéréotypes : le vrai ou faux strasbourgeois

Lorsque l’humain est en manque de repères, il a recours à des heuristiques de jugement, c’est-à-dire des pensées toutes faites. Avant mon installation, on m’a soumis plusieurs stéréotypes bien vénères sur Strasbourg et les Alsaciens. Un an après, je démêle le vrai du faux pour toi.

  • « Strasbourg, c’est mort. » : FAUX

Strasbourg est une petite ville au centre d’une grande agglomération — on parle d’ailleurs de village. Alors oui, si tu t’attends à être stimulé par l’offre nocturne comme il est possible de l’être à Bordeaux ou Paris, où il peut être difficile de choisir entre 5 soirées, « Strasbourg, c’est mort ». Pourtant, l’offre est bien là : il suffit d’être curieux !

Concerts accessibles, vernissages festifs, apéritifs sonores et terrasses animées… La ville ne manque pas de propositions, relayés sur ce site comme d’autres, et il y en a pour tous les goûts. En suivant les bonnes pages sur Facebook, les chakras ouverts, tu trouveras forcément quelque chose à ta convenance !

  • « Les alsaciens sont froids/racistes/lents. » : PAS PLUS VRAI QU’AILLEURS

Dans le Sud, si tu ne dis pas bonjour au bon moment, sur le bon ton et avec la bonne expression, tu es mal reçu. Le sudiste tient à la politesse, mais pas n’importe laquelle : à SA politesse, selon son activité, son humeur et son ouverture.

Habituée à ce genre de caprices depuis mon plus jeune âge, j’ai donc été positivement surprise par les strasbourgeois : les commerçants sont avenants, les gens aidants… Bien sûr, comme partout, quelques odieux connards rôdent, mais pas plus qu’ailleurs.

L’Alsacien n’est pas non plus plus lent que le Basque (bordelaise d’adoption, je suis en réalité originaire du Pays), j’observe même un éveil similaire dans les deux régions : les administrations se modernisent pour atteindre un niveau de réactivité appréciable, et les autoentreprises audacieuses se multiplient.

  • « Strasbourg, c’est 5 à 10kg de pris la première année. » : …

IMG_5783 copieIMG_0516En-Voiture-Simone3 copieIMG_6160IMG_1338DSC_0913SEUL DIEU PEUT ME JUGER.

  • « Strasbourg, c’est le grand Nord. » : PAROLE DE SUDISTE

En bonne enfant du soleil incapable de bronzer sans brûler, je sors de ma zone de confort en dessous de 5 degrés. Autant te dire qu’à la mi-janvier, lorsque le thermomètre affiche moins 15, mon nez brûle, mes yeux saignent, mes mains tombent et mes pieds meurent.

Heureusement, nous sommes tous égaux face à ces conditions extrêmes. Aussi, le strasbourgeois ne sera en mesure de juger ton absence de style à travers son bonnet, son écharpe, sa doudoune, son col roulé et sa polaire en tissu technique (ai-je besoin de mentionner les moon boots ? Je ne pense pas que j’ai besoin de mentionner les moon boots. Est-ce que j’aime les mots moon boots ? Peut-être que j’aime les mots moon boots, oui. Moon boots).

  • mannequinBilan, suite et fin

Je suis venue à Strasbourg pour une première année de master, à l’issue de laquelle j’ai choisi de ne pas postuler en deuxième et dernière année. Dans cette petite ville à taille humaine, en plein éveil, je me suis apaisée et développée ; j’ai renoué avec mes deux passions, la web-rédaction et le photoreportage, auxquelles j’ai décidé de me consacrer.

À Strasbourg, tout est à faire, ou plutôt tout est en train de se faire. Il ne tient qu’à toi, jeune ambitieux, motivé et travailleur, de participer à cet essor… Qu’importe la raison qui t’a poussée à venir ici, qu’importe si tout ne se passe pas comme prévu : si tu es doux avec la ville, elle te le rendra bien. 

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Voilà un an que je vis à Strasbourg. Maintenant, c’est l’heure du bilan…

Commentaires (11)

  1. Je ferais la même chose que toi après cette nouvelle année à Strasbourg !
    C’était super sympa à lire en tout cas je pense que je vais me retrouver dans pas mal de cas comme toi 🙂

  2. Je viens de vivre la même expérience que toi. Je suis arrivée il y a un an de Bordeaux, car le seul master dans la continuité de ma licence n’était pas possible à bdx mais ici.
    Je suis d’accord sur toute la ligne avec toi, mais la partie racisme m’a quand même beaucoup chamboulée ici. Il n’est pas exceptionnellement plus fort qu’ailleurs, mais en Alsace, ils assument !
    Bref, tu viens de décrire mon année passée, et de façon trop réaliste (es tu derrière moi là?)

  3. Etant Strasbourgeoise, je suis contente de voir que ton expérience s’est révélée plutôt positive 🙂
    J’ai déménagé dans le Haut Rhin près de Bâle, et même si ça reste l’Alsace, Strasbourg me maaaanque ! Tellement que je reviens quasi tous les week ends hihi!

  4. Étant du centre le France, j’y suis allé aussi durant trois ans pour les études, et Strasbourg m’a charmé. Il y a toujours des choses à faire, et contrairement à Paris par exemple, ou il faut habiter dans le centre, le vrai, pour sortir le soir, à Strasbourg: non. Il y a plus d’animation qu’ailleurs selon moi (entre tous les bars , dont beaucoup sont à thème, ce qui est plus que sympa, et les petites boites de nuit réparties dans la ville, il y a vraiment, mais alors vraiment de quoi s’amuser). Je pense que ta vision de la ville – tu dis d’ailleurs “petite ville”.. heu pardon ? Petite ville ? Strasbourg est un peu connue comme étant le carrefour de l’Europe ma grande, on y trouve entre autres le parlement européen… Une “petite ville” ne possède pas un réseau de bus aussi conséquent, 6 lignes de TRAM, ou encore un Zénith…). Bref, je pense que ta vision de la ville est faussée par le fait que tu ne sois probablement pas, excuse moi de le penser, ultra “sociable”. On se pose pas la question de comment se faire des amis quand on va à l’université de Strasbourg, avec toute la vie associative, le SUAPS immense qui propose des activités à n’en plus finir, et les différentes cafet’ étudiantes réparties sur le campus. Non, on ne peut pas se demander comment se faire des amis dans un tel cadre, c’est impossible.. Bien sur, même si il y a beaucoup d’humour dans ton article, et que ton avis reste positif, j’y ressens un léger sentiment de dénigrement malgré tout. Originaire du centre, et pour être dans le sud en ce moment même, je peux t’assurer qu’on a moins de mal à s’acclimater à Strasbourg qu’à Marseille,

    • Mon article n’a absolument rien de dénigrant, mon bilan est extrêmement positif. Je suis venue à Strasbourg pour étudier, j’y reste pour vivre. Comme toi, je dis qu’il y a mille choses à y faire. Si je parle de petite ville à taille humaine affectueusement, je précise également qu’elle se trouve au centre d’une grande agglomération. N’ayant pas eu le temps de pleinement l’explorer ni de profiter de sa situation européenne centrale en une petite année d’études bien chargée, je m’en tiens à ce que je connais (il s’agit d’un témoignage). Je passe sur le “ma grande” paternaliste qui ne passe pas. Quant à ma sociabilité, elle est très bonne, et je ne t’excuse pas de ton jugement personnel aussi infondé que condescendant. Je ne nie pas les occasions offertes par la ville, l’université et les associations pour s’intégrer, je mentionne que j’y ai eu recours avant de les citer pour les nouveaux arrivants d’ailleurs. Je précise simplement que cette étape d’intégration peut sembler angoissante lorsque l’on débarque sans le moindre contact, ici ou ailleurs. Nous sommes donc d’accord sur tous les points, au sujet d’une ville qui nous a également charmée.

  5. “Je suis venue à Strasbourg pour étudier, j’y reste pour vivre.” : Ce n’est pas ce que laisse entendre la phrase de fin de l’article : “Je suis venue à Strasbourg pour une première année de master, à l’issue de laquelle j’ai choisi de ne pas postuler en deuxième et dernière année.”, et comme tu ne dis rien de plus, j’en ai déduis que tu quittais la ville (ce que je ne te reprocherais absolument pas bien évidemment). Mais ça laisse cette impression de “un an ça va, mais faut pas pousser”, tu vois ce que je veux dire ? Bien sur que ton avis reste positif et c’est super. Mais quelques phrases comme “À Strasbourg, tout est à faire, ou plutôt tout est en train de se faire” (ça fait un peu: mouais ils s’en sortent bien mais y’a encore du boulot”, m’ont personnellement donné cette impression de léger dénigrement, je me suis peut être trompé.

  6. Article sympa qui donne malgré tout une image assez juste de la ville.

    Après quelques ptites choses m’ont fait un peu tiqué.

    Le Strasbourg “petite ville”.

    A l’échelle française, ça reste une grande ville hein. Il n’y a pas que l’hyper centre à Strasbourg. Si on l’a qualifie de ptite ville, je vois pas ce qu’on peut qualifier de grande ville en France à part Paris Lyon Marseille.

    Je suis originaire de Besançon (en l’occurrence une petite ville^^) et au contraire Strasbourg m’ a pas donné une impression de ville exiguë.

    Après tu n’y a vécu qu’une année donc dur de faire un bilan objectif. Disons que c’est plutôt une première impression.

    De toute façon, l’erreur à faire en Alsace quand on est étudiant est de se cantonner uniquement à Strasbourg alors que de par sa position, outre la région, il y a plein de choses top a faire dans les parages et avec un accès très facile.

    Plein de coins sympas en Allemagne, proximité des Vosges voir des Alpes Suisses.

    Après c’est sur qu’en 1 an, au final on fait peu de choses. Ca prend déjà du temps pour se faire un nouveau cercle d’amis. Surtout si comme toi, on débarque en Master.
    Perso j’en ai fait aussi les frais à l’époque à Montpellier, où soi-disant les gens du sud sont plus chaleureux. Au final c’était un peu la douche froide alors que je suis d’un tempérament très sociable.

    Perso je garderai un très bon souvenir de la ville, et ça fait des coins ou je pourrai m’établir sans problème.

  7. Je vis à Montpellier depuis 2011 et je suis native de la ville de Strasbourg.
    A Strasbourg il y a de quoi faire, c’est une grande ville et rien n’y manque. Bars, pubs restaus, etc…
    Les personnes qui disent que Strasbourg “c’est mort” n’y connaisse pas grand chose, et il faut y avoir séjourner quelques temps pour connaitre les différents lieux, activités culturelles, etc…
    La météo est plutôt pas mal. On passe facilement de la pluie au soleil en quelques jours mais c est pas gênant plus que ça.
    Les endroits de la nature, forêt, etc sont un régal!
    Pour se baigner, les plans d’eau ne manquent pas, et la proximité avec l’Allemagne est vraiment un plus pour faire ses courses ou s’évader.
    Puis on oublie souvent les alentours dépaysants: Les vosges, Géradmer, Amnéville les bains, Baden Baden du côté de l’allemagne.
    Bref y a de quoi faire, et puis le gros point: on peut se faire des amis, pas comme ici à Montpellier.
    Les hommes sont plus galants à Strasbourg. Ici c’est le désert…
    Bref…Bref, bref…

  8. Zaoui : Je confirme pour Montpellier, j’y vis depuis 15 ans, et à part mes amis de longue date et quelques collègues de boulot, je trouve que les relations humaines manquent vraiment de chaleur. Et pourtant, j’ai vécu toute ma vie dans le Sud, j’aime cette région, mais force est de constater que les “gens du Nord” (= au-dessus de Lyon pour moi ^^) sont plus avenants et vrais..
    Quant à la galanterie, je n’infirmerais ni ne confirmerais, pour moi c’est du sexisme bienveillant quoi qu’il en soit. Par contre à Montpellier pas mal de jeunes hommes sont “en chien” comme on dit, c’est drague lourde et harcèlement à gogo. Je pense que la mentalité dans le Sud est différente, il me semble que par rapport à l’Est les gens sont moins citoyens, moins civils, ont moins le sens du collectif.

  9. Ça me fait quand même bien sourire certaines phrases un peu condescendantes et on ne peut plus chauvines comme ” si tu t’attends à être stimulé par l’offre nocturne comme il est possible de l’être à Bordeaux ou Paris” ou “Dans cette petite ville à taille humaine, en plein éveil”; D’abord, il est tout simplement impossible de comparer Bordeaux à Paris, comme si l’offre culturelle ou nocturne état la même… Ensuite, dire que que Strasbourg est petite ville à taille humaine, en plein éveil est totalement incompréhensible venant d’une habitante de Bordeaux qui compte moins d’habitants et est deux fois plus petite… un peu étrange comme comparaison, avoue – le. Bref, si tu veux blâmer certains clichés peut-être devrais tu éviter d’en faire toi même :).

  10. Bonjour à toutes et à tous, je souhaite répondre à Chloé Moulin, dont je trouve l’article positif et enthousiaste pour Strasbourg, afin de la remercier de son analyse. Le centre ville à proprement parler est restreint en termes de km2, mais typique, chaleureux, et riche en boutiques. L’Histoire est partout, ce qui donne à la ville un cachet appréciable chaque jour. Tout y est à taille humaine. En proche périphérie, à 30 minutes à pied de la Cathédrale, se trouvent les institutions européennes, le splendide parc de l’Orangerie et de très beaux quatiers comme la Robertsau. J’ai lontemps vécu à Strasbourg et j’y reviens toujours avec ce sentiment de bonheur et de dépaysement. Merci Chloé pour votre humour et votre regard sur la capitale alsacienne.

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